Une Géorgie.
Des géorgiens.
Impossible de trouver l’adresse du GuestHouse puis après l’avoir enfin trouvée, elle nous semble abandonnée.
On se met sur une autre adresse mais introuvable aussi.
L’orage approche.
En demandant notre chemin à un passant qui n’en savait pas plus que nous et qui hélait ses congénères à la rescousse, une très grosse dame est apparue à sa terrasse. A coup de grand signes elle nousafait entrer dans sa cour et fait visiter sa maison en parlant fort le Géorgien qui voulait dire que nous étions les bienvenus.
Chambre, salle de bain, salon et cuisine à notre disposition.
Elle ne voulait rien savoir en terme de Lari, de Dollar ou d’Euro.
Nous avons été chercher des patates, des carottes et de la viande. Nous avons cuisiné un stoump arrosé d’un rouge géorgien.
A la fin du repas est apparu un monsieur avec une très grande bouteille de bière locale que nous avons descendu à trois car la grosse dame avait disparu.
L’orage était d’une violence rare et nous étions à l’abri bien au chaud dans un énorme lit dans une grande chambre encore étonnés de la tournure des événements.
Le matin nous avons pris la douche fait une omelette et repris la route sous les au-revoirs (ou adieux)  de la dame…en géorgien.
Une Géorgie.
Des géorgiens.

Une nouvelle compagne du matin,
et une sacrée nature : ASPINDZA